| | Se syndiquer | |
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Auteur | Message |
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marzolf
Nombre de messages : 698 Localisation : Strasbourg Date d'inscription : 18/06/2009
| Sujet: Méterrorisme Mar 28 Fév 2017 - 18:51 | |
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Dernière édition par marzolf le Ven 3 Mar 2017 - 10:33, édité 1 fois | |
| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Re: Se syndiquer Mar 28 Fév 2017 - 20:35 | |
| Conclusion :
"À vaincre sans péril on triomphe sans gloire"
(Pierre CORNEILLE, Cid, II, 2) | |
| | | marzolf
Nombre de messages : 698 Localisation : Strasbourg Date d'inscription : 18/06/2009
| Sujet: Re: Se syndiquer Mer 1 Mar 2017 - 23:05 | |
| Étrange conclusion tout de même.
Dernière édition par marzolf le Ven 3 Mar 2017 - 10:32, édité 1 fois | |
| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Dépression syndicale Jeu 2 Mar 2017 - 2:41 | |
| Bonsoir marzolf, Décidément, tu ne sais plus rien faire d'autre ici, que de ramener tous les post qui se présentent à ta propre personne. C'est ce que j'appelle "le nombrilisme marzolfien". Je pense sincèrement que beaucoup de nos utilisateurs, moi y compris, sont littéralement gavés de ton histoire de licenciement et de tes rapports distendus qui en sont découlés avec ton syndicat en général tant sur le plan local qu'au plan national. Pour conclure : dois-je te rappeler que je t'ai proposé personnellement de t'héberger gratuitement à Paris durant toute ta période d'essai si tu venais travailler à la capitale. Mais en grand seigneur, tu n'as jamais accepté de te bouger le cul de Strasbourg, afin de trouver un travail toujours possible dans le notariat parisien. Maintenant que tu t'es bien vautré dans la merde, ne viens plus pleurnicher ici constamment. Tu t'es cru plus fort que tout le monde et tu en fais les frais. En cela je n'ai pas l'impression du tout, de parfaire "ton licenciement du notariat". Saches, enfin que pour "passer la main", il faut des militants prêts à s'engager véritablement dans l'action de leur syndicat et que la FEC-FO n'a aucune vocation à gérer, même temporairement, une section professionnelle quelle qu'elle soit... Dont-acte. | |
| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Réforme du travail ... Lun 29 Mai 2017 - 17:37 | |
| Réforme du travail : les Français contre un plafonnement des indemnités prud'homales 56% y sont opposés selon un sondage pour "Les Echos", Radio Classique et l'Institut Montaigne. publié sur le site www.francetvinfo.fr le 29/05/2017 | 07:25Les Français veulent une réforme du Code du travail mais ils sont opposés à 56% à un plafonnement des indemnités prud'homales en cas de licenciement abusif, indique un sondage de l'institut Elabe. Selon cette enquête diffusée dimanche soir et réalisé pour Les Echos, Radio Classique et l'Institut Montaigne, ils rejettent à 56% cette mesure qui figure pourtant au programme d'Emmanuel Macron. Dans le détail, 44% des Français sont favorables à une réforme "en profondeur" du Code du travail, mais 50% veulent "l'aménager sur quelques aspects seulement". Ils ne sont que 6% à désirer le statu quo. Une grande majorité (72%) est en revanche favorable à une fusion des instances représentatives du personnel ou à l'organisation par l'employeur de référendum en cas d'accord minoritaire (71%). Les Français sont moins nombreux (57%) à approuver qu'un accord d'entreprise déroge à un accord de branche pour fixer le seuil de déclenchement des heures supplémentaires. 50% font confiance à Emmanuel Macron et Edouard Philippe pour proposer une réforme qui "profite autant aux salariés qu'aux employeurs". 49% n'ont en revanche pas confiance dans le couple exécutif. | |
| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Point de vue Sam 3 Juin 2017 - 20:08 | |
| Pensons-nous à courte vue ? Dans le syndicalisme, comme ailleurs, le temps court est toujours celui des illusions, pour ne pas dire de la sottise. En réalité l’histoire des hommes obéit à un autre rythme. Le bilan d’une manifestation syndicale, comme celle qui a consisté à soutenir sur le pavé parisien, l’action des notaires contre la Loi MACRON, ne peut s’évaluer que sur le long terme. Quant aux péripéties qui surgissent au plus chaud de l’événement, elles sont comme des mirages que le temps évapore aussitôt. Il faut bien comprendre qu’à ce jour, la FGCEN-FO est entrain de payer cash le prix de son engagement aveugle aux côtés des notaires, sous le prétexte de « sauver le notariat, notre outil de travail ». La FGCEN-FO n’avait manifestement pas mesuré du tout, les conséquences d’un mélange inapproprié des genres (salariés enrôlés souvent de force par leurs patrons et patrons-employeurs « moutons de Panurge ») uniquement pour faire du nombre et tenter ainsi, d’impressionner le Gouvernement alors en place. En fait, elle aurait mieux fait d’organiser une grande manifestation syndicale traditionnelle de salariés, en parallèle de celle des notaires, afin d’attirer, arguments sérieux à l’appui, les décideurs politiques sur ses craintes du changement et sur les conséquences de l’application d’une telle loi. Il n’était pas normal d’aller manifester bras dessus – bras dessous, aux côtés des notaires qui ne descendent pratiquement jamais dans la rue. Les grandes centrales syndicales ne se livrent jamais à un tel mélange des genres. A ce jour, il faut reconnaître que la FGCEN-FO a perdu une grosse partie de sa crédibilité de « défenseur des salariés du notariat »… Certes les temps actuels sont perturbés, mais il y a des « bourdes syndicales » qui apparaissent comme des erreurs monumentales et sont consécutivement inexplicables à l’ensemble de nos collègues, syndiqués ou non. | |
| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Le syndicalisme et l'envie ... Mer 9 Aoû 2017 - 15:53 | |
| L'envie est un ressort puissant de nos actions mais on l'utilise peu au travail. Comment susciter l'envie chez les collaborateurs pour favoriser la réussite des objectifs de l'entreprise ?
«Travailler sans en avoir envie, ça n’est pas un travail qu’on fait, c’est une besogne. Et c’est à ces moments-là qu’on se rend compte à quel point l’on a peu de mérite à faire les choses qui vous plaisent» disait Sacha Guitry.
L’homme est un animal doué d’envie. On peut avoir envie de tellement de choses, des envies que nous ne maîtrisons pas ou qui s’imposent à nous. Qui n’a jamais fait cette expérience de «succomber» à l’envie de… ? C’est étonnant comme le temps passe vite quand nous pratiquons une activité qui nous fait envie.
Mais que se passe-t-il quand nous n’avons pas envie ? Pas envie de se lever le matin, pas envie de parler, pas envie de se remettre au sport, pas envie de ranger ces papiers qui trainent depuis des lustres, pas envie de continuer cette relation.
Quand nous n’avons pas envie, nous sentons combien nos actes deviennent difficiles, pénibles, parfois impossibles à mettre en œuvre. Et pourtant, nous posons-nous la question de l’envie dans notre vie professionnelle ?
Susciter l’envie même en entreprise
Vous êtes-vous déjà demandé si les membres de l’équipe avaient envie de faire les tâches que vous leur avez assignées ? Et si l’envie était le seul réel moteur de nos actions et donc aussi de notre accomplissement professionnel, de la réussite de nos objectifs et de ceux que nous définissons annuellement avec les salariés ?
J’entends déjà les commentaires : «Dans la vie, on ne fait pas toujours ce que l’on veut», «L’entreprise ce n’est pas le monde des Bisounours», «Il faut bien faire ce qu’il y a à faire, que l’on aime cela ou non»…
Se pose alors la question des moyens que nous mettons en œuvre pour susciter l’envie ? Les envies physiologiques comme manger quand nous avons faim ne posent pas de problème. L’envie de gérer tel ou tel projet ne vient pas forcément de soi.
Le principal ferment de l’envie est le sens que l’on donne à l’action. Donner du sens pour donner envie. Cela semble évident, mais est-ce que je me pose la question du sens que je donne à tous les objectifs que je fixe aux équipes ? Est-ce que je me préoccupe de m’assurer qu’ils ont compris pourquoi je leur demande d’effectuer telle ou telle tâche ? Est-ce que je suis bien certain moi-même de savoir pourquoi je choisis ces projets ?
Source :lesechos.fr / Management : donner du sens pour donner envie
Ndlr : Quid de l'envie de se syndiquer ou de ne pas se syndiquer ? Intéressante à connaître... Exprimez-vous sans crainte, ici. | |
| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Données basiques à connaître Mar 22 Aoû 2017 - 21:02 | |
| En 2011, la dernière étude du ministère du Travail (Dares) a compté que 75% des entreprises de plus de 11 salariés n’avaient pas au moins un délégué syndical. Plus de 40% des entreprises de plus de 11 salariés ne disposent d’aucune instance de représentativité professionnelle (IRP) : ni délégué syndical, ni délégué du personnel, ni comité d’entreprise, ni comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail. (Trouvé dans l'OBS...) ndlr. Sur le sujet des IRP, le notariat n'est pas différent des autres branches professionnelles, si ce n'est en pire! | |
| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: Notariat - délégués syndicaux Lun 4 Déc 2017 - 14:30 | |
| Une nouvelle ordonnance dynamite les délégués syndicaux
Source : Info - Interprofessionnel | Par Eric Verhaeghe (www.tripalio.fr) | 04/12/2017 11:03
Les délégués syndicaux vont-ils disparaître ? Le gouvernement a présenté vendredi aux partenaires sociaux une sixième ordonnance qui comporte quelques innovations majeures. En particulier, les délégués syndicaux perdraient définitivement le monopole de la négociation dans les entreprises. Selon la presse, le gouvernement soumet à consultation des partenaires sociaux en ce moment même une sixième ordonnance présentée comme "correctrice" pour 80% de son contenu. Il s'agirait donc d'ajuster les textes existants aux ordonnances qui viennent d'être ratifiées. Sauf que... Les délégués syndicaux perdent leur monopole Deux innovations majeures émaillent ce nouveau texte. Premier point: les nouveaux conseils d'entreprise, qui fusionnent les CHSCT, les CE, les délégués du personnel et les délégués syndicaux, auront la possibilité de négocier des accords. Cette reconnaissance définitive d'une option déjà ouverte par les premières ordonnances dans les entreprises dépourvues de délégués syndicaux, met un terme définitif au monopole de négociation accordé aux délégués syndicaux. C'est une révolution dont il ne faut pas sous-estimer la portée. Les syndicats représentatifs ont obtenu jusqu'ici le maintien du privilège de négociation accordé aux délégués syndicaux, qui justifie encore l'adhésion syndicale dans les entreprises. En accordant aux conseils d'entreprise les mêmes droits qu'aux délégués syndicaux, le gouvernement tourne une page majeure de l'histoire du syndicalisme. On s'étonnera de la passivité voire de l'apathie dans laquelle cette opération semble admise par les organisations syndicales. Un petit cadeau pour faire passer la pilule Il faut dire que le gouvernement a prévu une petite potion digestive pour accompagner cette couleuvre majeure. La même ordonnance met un terme à la "subrogation", c'est-à-dire au remboursement des salaires des salariés en congé de formation syndicale. Désormais, un syndicat pourra donc former des salariés sans que le syndicat ne doive rembourser les salaires en question. Cette discrète charge nouvelle laissée aux entreprises est un vrai cadeau financier aux organisations syndicales. Il serait question, en contrepartie, de baisser le taux de la contribution obligatoire des entreprises au financement du paritarisme. Si cette ordonnance devait passer en l'état, elle marquerait son époque.
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| | | RWM
Nombre de messages : 6553 Localisation : Vallespir Date d'inscription : 19/01/2006
| Sujet: CONFEDERATION FORCE OUVRIERE - départ du Secrétaire Général Sam 31 Mar 2018 - 14:00 | |
| Jean-Claude Mailly mauvais esprit
Jean-Claude Mailly, patron de FO sur le départ, n'a pas jugé bon de prendre autant de pincettes que Laurent Berger afin de signifier son refus de participer à la journée du 19 avril. Interrogé hier sur Public Sénat, M. Mailly a tout d'abord estimé que la CGT ne réussirait probablement pas à atteindre son objectif de convergence des luttes : "Ce n’est pas parce qu’il y a multiples conflits dans différents secteurs, et public et privé […] qu’obligatoirement ça coagule." Bien lancé, il s'est surtout montré très réticent à l'égard de ce qu'il estime être une "convocation" de la part de la CGT : "Je ne vois pas pourquoi on irait". Afin de motiver son refus de manière indiscutable, Jean-Claude Mailly a d'ailleurs sous-entendu que Philippe Martinez avait bien mal choisi sa date, rappelant que le congrès de FO, lors duquel il doit passer la main à Pascal Pavageau, a lieu le 23 avril. A quelques semaines de la fin de son mandat, Jean-Claude Mailly ne semble pas dans son assiette et donne le sentiment qu'il est passé à autre chose que le syndicalisme.
Information du 27 mars 2018, trouvée sur www.tripalio.fr | |
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